Fais ta place dans le monde des affaires ! Notre diplôme en administration des affaires te préparera à intégrer le milieu des affaires et à y jouer un rôle important.
Lire la transcription
[transcription générée automatiquement]
Philippe : Donc. Bonjour tout le monde ! Bienvenue à la balado de l'Université Sainte-Anne de cette semaine. Comme à l'habitude, ça nous fait plaisir de vous proposer différentes facettes intéressantes de l'Université Sainte-Anne.
Et cette semaine, on s'attarde au programme d’administration des affaires du côté collégial. Donc, pour ceux et celles qui ne connaissent très peu l’Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse, nous on a la distinction d'offrir des programmes collégiaux et universitaires sous l'emblème de l'Université Sainte-Anne.
Donc, le programme d'aujourd'hui, c'est un programme de deux ans pour ceux et celles qui s'intéressent en affaires. J'ai comme moi un invité très intéressante. C'est Cécile Klawatsch de l'université qui est présentement professeure pour le programme d administration des affaires. Donc bonjour Cécile.
Cécile : Bonjour Philippe, et bien bonjour à tout le monde qui nous écoute du coup aujourd’hui.
Philippe : Donc aujourd'hui on va vous faire explorer quelque chose d'un peu différent mais de quand même très, très intéressant. Donc pour toi Cécile, l'Université Sainte-Anne, qu'est ce que c'est ? Qu'est ce que ça représente ?
Cécile : Alors pour moi, l'Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse. C'est une institution extrêmement importante parce que déjà, c'est une institution qui permet de délivrer des programmes en français et en anglais. Donc c'est vraiment une université qui est petite en taille, mais grande par son importance, parce que vraiment, elle souligne en fait la diversité. Pour moi, au sein de la Nouvelle-Écosse, puisqu'on a à la fois des étudiants bilingues anglais première langue qui veulent suivre des programmes en français, renforcer leur français, mais aussi qui accueillent des étudiants internationaux francophones première langue qui qui souhaitent effectivement avoir un renforcement linguistique.
Donc pour moi en tout cas, l'université Sainte-Anne, c'est ça que ça représente, c'est cette diversité en Nouvelle-Écosse.
Philippe : Oui. Donc, pour nous, aujourd'hui, le programme d'administration des affaires, je le rappelle, c'est un programme de deux ans au niveau collégial, puis on est super content de vous le présenter parce que c'est un de nos programmes les plus relativement nouveau du côté collégial. Donc, Cécile est-ce que tu peux nous aider à parler un peu du programme de deux ans qui est offert présentement.
Cécile : En administration des affaires. Alors du coup, ce programme, il est vraiment dédié à des personnes qui s'intéressent au milieu des affaires. Bien évidemment, c'est un programme assez généraliste qui prépare un certain nombre de métiers en entreprise et dans le public également.
Donc on va pouvoir s'intéresser évidemment à se préparer à tous les métiers de la vente des ressources humaines, du marketing, de la finance et même, pourquoi pas des métiers aujourd'hui beaucoup plus tournés vers les données.
Là, il faudra sans doute poursuivre des études un petit peu plus loin. Mais au moins ce programme de deux ans permet d'avoir une vue assez généraliste, de voir aussi ce qu'on aime et de pouvoir aussi s'orienter derrière par la suite pour voir si on souhaite continuer ou bien tout simplement au bout de deux ans déjà, il est tout à fait possible d'avoir une entrée dans l'emploi et notamment avec un profil bilingue très recherché sur le marché.
Philippe : Ouais, une chose qu'on dit souvent de nos diplômés de ce programme ici, c'est que des opportunités d'emploi bilingues en Nouvelle-Écosse, il en existe plein. Dans un pays bilingue comme le Canada, si vous décidez de choisir de continuer votre carrière professionnelle à l'extérieur de la province de la Nouvelle-Écosse, le taux de placement est très, très élevé. La demande est certainement disponible et je pense que si, si je comprends bien, le la façon que le programme est structuré, les étudiants ont aussi accès à une période de stage est-ce bien le cas ?
Cécile : Alors oui, c'est bien le cas, effectivement. Alors le programme est relativement chargé, donc la période de stage a lieu en fin de deuxième année et donc il dure six semaines en ce qui permet d'avoir une première rentrée en entreprise, surtout de se construire une belle expérience à mettre sur son CV. Une première approche en fait à l'emploi, mais aussi qui permet tout simplement de construire bien sûr un petit peu son CV et de devenir plus attractif ensuite sur le marché derrière.
Philippe : Oui, puis je pense que le marché de l'emploi est tellement compétitif maintenant que souvent, lorsqu'on a un étudiant bilingue qui s'intéresse à faire un stage auprès d'une entreprise ou d'un organisme gouvernemental ou quoi que ce soit, c'est très possible qu'à la fin du stage initial, que ce soit possible de continuer de travailler dans le lieu de stage. Alors c'est parce qu'on a déjà vu ça avec certains de tes tes étudiants, mais je sais que c'est quelque chose que certaines personnes me mentionnaient justement dernièrement.
Cécile : Alors absolument, Philippe, tu as tout à fait raison. Je pense qu'il y a certaines structures qui sont en mesure d'avoir un emploi derrière. Maintenant, quoiqu'il arrive, moi je dois dire en toute sérénité que vraiment je n'ai aucune inquiétude à tous les étudiants sont en fait plutôt difficiles, prennent le stage, trouvent un stage, mais surtout derrière, choisissent l'institution qu'ils souhaitent, parce que vraiment, en termes d'opportunité, on n'en manque pas.
Et les étudiants sont extrêmement bien préparés avec le programme, à obtenir des opportunités assez attractives sur le marché d'un point de vue rémunération un, surtout dans l'administration des affaires. C'est un programme qui prépare à avoir un accès, qui prépare à avoir accès à un certain nombre d'opportunités plutôt plutôt attractives, même en termes de rémunération.
Philippe : [...] Si on, si on conclut un peu sur les stages. Si quelqu'un ne connaît très peu la Nouvelle-Écosse, mais décide de se lancer dans l'aventure de Sainte-Anne, sachez qu'on a un bureau d'agent de stage qui vont vous aider avec vos placements. Donc ce n'est pas ce ne sera pas toujours à vous, à vous trouver un un offre de stage qui vous intéresse.
On a une équipe au collégial qui pourra vous aider justement à vous placer en ville ou en campagne, ou dans différentes dans différents milieux d'entreprises qui pourraient vous intéresser.
Cécile : Ah oui, je confirme Philippe, ça c’est pas une inquiétude du tout, non.
Philippe : Exactement. C'est ça. C'est pour ça, je le dis un fois, que les gens font partie un peu de la famille Sainte-Anne, ils voient un peu comment on travaille en Nouvelle-Écosse, puis je pense qu'ils vont être agréablement surpris. Mais on pourrait assumer qu'il y a certaines personnes qui écoutent la balado ce matin, qui qui n'ont jamais entendu parler des services de l'université.
Donc oui, on offre des services d'aide pour les stages, mais aussi, si jamais que vous avez besoin de différents services. On a aussi un centre d'aide à l'apprentissage parce qu'il est certain, parce qu'on n'a pas encore abordé. C'est qu'il y a aussi un volet d'enseignement à distance pour le programme d'administration des affaires. Donc, c'est possible pour le programme d’administration des affaires de le suivre dans tous nos campus en Nouvelle-Écosse.
Donc, ça inclut cinq campus, à l'exception du campus de Pointe-de-l’Église. Donc, si un élève s'intéresse à étudier en ville, généralement les gens vont choisir l'option d'aller étudier à partir du campus d'Halifax. Mais je pense qu’une chose quand même qu'on peut adresser dans un balado d'aujourd'hui, c'est l'avantage que vous avez, c'est que la majorité les cours sont offerts sur la plateforme Microsoft Teams. Donc votre enseignante est en classe. Vous devez assister à vos cours en présentiel mais via Microsoft Teams. Ça vous permet de d’aussi d'assister à partir de un de nos campus en région rurale. Si c'est ce qui vous intéresse le plus.
Puis toi, Cécile, en termes de professeurs qui enseignent à distance, comment tu vois la dynamique d'enseignement sur Teams avec le programme d administration des affaires ?
Cécile : Alors c'est une excellente question. C'est vrai que c'est cette possibilité d'offrir des programmes à distance. Alors, c'est quelque chose qu'on a expérimenté beaucoup, un, de toute façon. Après, la COVID, c'est quelque chose qu'on a tous vécu, de vivre à distance, de travailler tout ça à distance. Alors c'est vrai qu'il y a une problématique d'être à distance, ça nécessite une certaine autonomie, en tant qu'individu, mais ça, on accompagne aussi bien sûr les étudiants dans cette autonomie.
Donc c'est vraiment quelque chose qui est, qui est important ainsi à souligner, mais c'est vrai que ça offre aussi une grande flexibilité, Donc de pouvoir aujourd'hui assister à des cours depuis différents campus. Moi, aujourd'hui, ça me semble une nécessité. En tout cas vraiment un service formidable qui est offert par par l'université à ce niveau là. Mais cette flexibilité, elle existe aujourd'hui dans le marché du travail.
Donc je pense que c'est une adaptation pour nous, tout simplement, à l'environnement aussi, certainement l'environnement que vont connaître les étudiants, ensuite en entreprise et dans les organisations avec un environnement plutôt hybride. Donc non. En tout cas ça se passe très bien. C'est quelque chose qu'on évidemment on apprend un peu avec le temps. On apprend aussi les élèves contribuent à améliorer aussi cette expérience, mais c'est quelque chose qu'on a beaucoup expérimenté au cours des 18 mois.
Et puis bien sûr, qui va tendre à évoluer. Mais en tout cas, nous, on est ravi de cette possibilité de pouvoir offrir ce programme sur différents lieux physiques, avec cette connexion bien sûr, à qui il a le suivi, lui, il est toujours présent, hein, qu'on soit sur Teams ou en, ou en personne, évidemment, d'avoir des possibilités de rencontres avec tout le monde, c'est aussi un avantage.
Mais en tout cas, c'est quelque chose qu'on gère très bien et les étudiants n’ont aucune inquiétude à avoir à ce niveau là.
Philippe : Oui, exactement. Une chose qu'on pourrait peut-être être très rassurant, c'est souvent les gens ont tendance à dire Ah, ça, c'est un volet à distance. Est ce que je vais avoir accès à mes enseignants, mes professeurs, quand même ? Est ce que je vais être capable de faire des groupes de travail avec d'autres collègues ? Puis rassurez-vous, honnêtement, je pense que la structure vous permet justement de faire toutes ces belles choses ici relativement facilement.
Donc les profs sont disponibles, l'accès aux services sont disponibles. Je sais pas si, Cécile, on pourrait prendre un petit deux minutes pour discuter de certaines perspectives d'emploi du programme parce que moi même je suis diplômé d'un programme d’administration des affaires de l'Université Sainte-Anne. Puis je pense qu'une crainte que j'avais au départ, c'est que un bac généraliste souvent, c'est pas comme être devenir enseignant.
Ou est-ce qu'on sait que lorsqu'on complète une formation, ça nous apporte dans un débouché XYZ. Lorsqu'on est en administration des affaires, je pense qu'on n'est pas souvent certain exactement quel type d'emploi on va dénicher. Mais c'est aussi un des plus gros avantages d'un programme, c'est que ça vous permet d'ouvrir plusieurs différentes portes. Donc, qu'est ce que, qu'est ce qui serait certaines options qu'on pourrait explorer après l'obtention de notre diplôme de deux ans ?
Cécile : Alors, pour l'accès à l'emploi directe, moi, je vais penser évidemment à des postes d'entrée pour entamer une carrière commerciale, par exemple. Ça, ça peut être une première possibilité. Alors, dans le commerce, en tant que vendeur, il y a de belles perspectives en terme de rémunération rapide et de l'évolution rapide. C'est une carrière qui est extrêmement instructive, qui peut d'ailleurs préparer aussi à des changements plus tard dans la carrière.
Enfin, je dirais effectivement, il y a un premier volet vers des métiers commerciaux qui peut être une première piste. Il peut y avoir ensuite un si j'ouvre un autre volet, et puis je ne vais pas faire l'exhaustivité parce que le bagage, je pense que sur ce programme collégial de deux ans administration des affaires, il y a beaucoup d'opportunités.
Mais il va y avoir un bien sur des jobs dans des des emplois, dans l'administration tout simplement. Donc là c'est vrai que tout ce qui peut être assistant administratif, coordinateur, là, tout ce genre d'emploi peut tout à fait être ouvert ensuite à des études collégiales dans le domaine des affaires, pourquoi pas entamer la fonction publique ? Il y a beaucoup de de d'emploi en tout ce qui est agent, des possibilités de carrières très intéressantes dans ce domaine, notamment avec le gouvernement Canada ou au fur et à mesure aussi, on peut commencer avec des emplois d'entrée.
Et puis ensuite, eh bien, on peut continuer à se former tout au long de la vie. Je pense qu'il faut rappeler ça aussi aujourd'hui parce que, de le diplôme d'études collégiales, je pense qu'il y a beaucoup de jeunes aussi qui ont envie de mettre un premier pas dans l'emploi et peut être vont se poser des questions par la suite.
Il est tout à fait possible de faire des ponts, mais ça, je pense qu'on y reviendra. Donc, cette possibilité là, il va y avoir aussi tout ce qui est assistant comptable donc tout le volet, plutôt comptabilité finance, donc plutôt sur des sur des emplois en terme de coordinateur, on est d'accord, bien sûr, sur des diplômes collégiaux, on est plutôt sur des postes d'entrée, mais ça permet justement de de d'apercevoir ce que va être le métier.
Idem pour tout ce qui est parti GRH - gestion des ressources humaines - on peut commencer en tant que coordinateur en gestion des ressources humaines en entreprise avec un diplôme collégial. On peut de la même façon sur des postes d'entrée en marketing, il est tout à fait possible de démarrer aussi. Il y a aussi le volet entrepreneuriat. Je pense que c'est quelque chose qu'on entend aussi beaucoup d'étudiants qui s'intéressent à l'entrepreneuriat.
Moi je conseillerais toujours, hein, peut être notamment en jeune partie de carrière, de prendre quand même un poste d'entrée, puis pourquoi pas, de développer le programme aux études collégiales ici, chez nous prépare aussi à démarrer sa petite affaire sur le côté. Donc, je pense que ça, c'est aussi une perspective pour pour les étudiants qui s'intéressent. Donc, je pense qu'effectivement le champ des possibles est assez large.
Et puis derrière, la spécialisation va venir derrière et ça, les affinités. Justement, le programme de deux ans va permettre de voir ce vers quoi on a des affinités. Est-ce qu'on est très à l'aise avec l'ordinateur ? Est ce qu'on est très à l'aise avec les données ? Est ce que j'ai envie plutôt de m'orienter vers une carrière finance ou plutôt commerciale ou plutôt agent administratif ?
Là, je pense que le temps et l'expérience va permettre ensuite de comprendre pour l'étudiant, de savoir là où il veut se diriger, de se spécialiser par la suite, sachant que je le rappelle, une carrière c'est pas quelque chose forcément de toujours très stable. Il est tout à fait possible d'avoir, évidemment, de changer d'avis et je pense que c'est l'avantage de ce genre de formation, c'est que finalement c'est une très bonne préparation qui permet ensuite de trouver sa voie.
Philippe : Je pense que tu [...] de nous proposer. On dit souvent que les programmes collégiaux à Sainte-Anne, c'est un peu la voie la plus rapide vers le marché du travail. On en a la preuve avec le programme d'administration des affaires, ceux qui veulent aller se trouver un emploi, je pense qu'il y a énormément de disponibilités dans différents secteurs.
Puis aussi la carte cachée un peu que tu as fait allusion un peu dans la discussion, de dire que si vous choisissez de rester aux études, moi quand je fais des présentations, beaucoup, je regarde le facteur financier avec des étudiants, puis je leur dis que financièrement, c'est un peu moins cher de commencer votre carrière professionnelle aux études du niveau collégial comparativement au niveau universitaire.
Puis qu'est ce qui est bien à Sainte-Anne on a, on a un pont vers le baccalauréat aussi. Donc si après deux ans vous décidez que le marché du travail, c'est peut être pas pour vous pour l'instant que vous voulez continuer vos études, c'est possible d'être admis dans la troisième année du baccalauréat pour éventuellement aller chercher un bac de quatre ans qu'on appelle au Canada en administration des affaires.
Donc c'est comme c'est un pont que vous pouvez utiliser avec avec vos deux premières années collégiales vers le secteur universitaire. Si les élèves s'intéressent.
Cécile : Moi, je trouve que ça, effectivement, c'est vraiment une chance formidable. D'ailleurs, Philippe, tu me dis si je me trompe, mais je pense qu'il est aussi possible de travailler un an et puis pourquoi pas de faire valoir cette équivalence plus tard. Et ça, je pense que c'est vraiment quelque chose qui peut arriver, notamment en début de parcours. On peut avoir envie de se lancer quelque part et puis ensuite de faire un an d'expérience en entreprise ou dans une organisation peut permettre aussi de se dire ah ben oui, je n'avais pas identifié ce métier là et là du coup, de revenir un peu plus tard aux études.
Donc je pense que ça, c'est vraiment un point très, très important à souligner.
Philippe : Exactement, 100 % d'accord. Donc, une chose que peut être un ou deux derniers points avant de conclure la balado aujourd'hui. Souvent les étudiants potentiels vont me poser des questions sur les critères d'admission au programme. Donc une chose qu'on recherche pour ce programme ici, c'est que vous avez besoin d'avoir l'équivalence au secondaire de certains cours de mathématiques, certains cours de langue française et anglaise.
Donc, lorsque vous allez avant de commencer le programme, vous allez généralement faire des tests de placement langagier pour voir un peu est-ce que vous avez le niveau de langue nécessaire au programme ? Étant généralement bien la seule université francophone en Nouvelle-Écosse ? Peut-être que vous avez le français comme langue maternelle, puis il n'y aura pas de problème avec le français, mais vous avez peut être l'anglais comme langue seconde. Ça, c'est un profil qu'on voit quand même relativement souvent, puis de pouvoir faire des stages en Nouvelle-Écosse, souvent, ça ne serait pas une mauvaise idée d'avoir un niveau d'anglais peut-être amélioré. Donc peu importe votre niveau, on a un parcours qui peut différencier un élève d'un autre, bien évidemment basé sur leur langue seconde.
Mais sachez simplement que ça pourrait avoir un impact sur votre admission au programme. Et peu importe votre catégorie, votre cheminement sera proposé par Sainte-Anne soit avec un partenariat avec une école de langue pour la langue seconde en anglais ou quoi que ce soit pour vous permettre de pouvoir poursuivre votre rêve de faire le programme de deux ans au niveau collégial.
Cécile : Absolument. Et là, je vais même ajouter que c'est vrai qu'on n'est pas obligé d'être absolument. Il ne faut pas viser la perfection. De toute façon, même pour le cours, je vais prendre moi-même en exemple, ça va faire sept ans que je suis en Nouvelle-Écosse. J'avais fait des études bilingues, etc. Alors moi je ne saurais comment renforcer. En tout cas, je pense que c'est important d'avoir vraiment conscience que de suivre des études bilingues justement avec vraiment ce renforcement linguistique au sein du programme.
C'est tellement une chance pour la suite parce que finalement il vaut mieux le faire maintenant au niveau des études et pas viser cette perfection. On n'attend pas la perfection au niveau linguistique. Dès les études, on attend un niveau intermédiaire bien sûr pour pouvoir suivre les cours. En revanche, le renforcement linguistique qui va être apporté pendant le programme va vraiment préparer au marché du travail.
Il vaut mieux faire maintenant pendant les études que par la suite dans le milieu professionnel où là, ça va être des pré requis finalement, et c'est beaucoup plus difficile de prendre confiance en soi à ce moment là.
Philippe : Donc vous allez voir que la grosse majorité des informations discutées aujourd'hui se retrouvent sur notre site web. Donc pour ceux qui connaissent moins notre site web, je vous donne l'adresse. Elle sera aussi un note de bas de page de la discussion d'aujourd'hui. C'est etudescollegiales.ca. Donc « études » et « collégiales » au pluriel car vous avez été capable de regarder à tous les critères d'admission nécessaire, de regarder à certaines perspectives d'emploi.
Vous allez voir la structure du programme, les frais liés aux programmes aussi, les bourses disponibles parce qu'il y a de l'appui financier qui est disponible pour vos études aussi. Et bien évidemment, c'est le désir et toujours là après votre recherche, de soumettre votre demande d'admission dans notre programme d'administration des affaires. Donc je ne sais pas si tu penses qu'on a fait le tour de la question aujourd'hui.
Est-ce qu'il y a des choses qu'on pourrait peut-être discuter ? En conclusion ?
Cécile : Alors moi je pense qu'effectivement, ce qu'on va pouvoir rappeler, là, en conclusion, c'est vraiment un programme qui s'adresse, je pense, vraiment à des étudiants qui qui ont la volonté d'avoir une première approche un peu généraliste du monde des affaires. C'est vraiment le bon programme pour ça. Des jeunes qui s'intéressent à l'entrepreneuriat, au commerce et à tout ce qui est administratif, finances, etc.
Donc là, vraiment, rappelons que ce programme est vraiment une bonne porte d'entrée pour avoir une première découverte, en fait vraiment, de tous ces métiers qui entrent dans des affaires. Donc ça c'est le premier point, je pense, à souligner. Et puis le deuxième point, c'est vraiment que c'est un programme qui s'adresse vraiment à la fois je pense aux francophones première langue, mais aussi aux anglophones, deuxième langue, et que c'est vraiment d'ailleurs la diversité qui fait la richesse dans ce programme.
C'est quelque chose qui est très valorisé au sein du programme et qui va vraiment amener des différences culturelles à une diversité culturelle et une diversité linguistique qui va permettre à tout et à chacun de s'enrichir à travers le programme. Et puis d'avoir de belles perspectives ensuite en entreprise et dans les organisations dans le futur.
Philippe : Donc merci Cécile pour cette belle conclusion. Je te remercie d'avoir participé à la discussion d'aujourd'hui et à tous les élèves intéressés. Rendez-vous sur notre site web pour bien évidemment avoir tous les détails supplémentaires et continuer de télécharger les balados. Parce que vous allez voir qu'il y a d'autres sujets pertinents qui s'en viennent dans les semaines à venir.
Donc merci encore une fois et je vous souhaite une bonne fin de journée à tous et à toutes.
Cécile : Bonne fin de journée à toutes et à tous.
Luc : Merci beaucoup d'avoir été parmi nous. Pour de plus amples renseignements, consulter le www.usainteanne.ca ou écrivez nous à