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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 5 octobre 2021 – L'Université Sainte-Anne est heureuse de compter quatre de ses diplômés parmi la nouvelle cohorte d'étudiantes et d'étudiants qui entament leur première année d'études en médecine à l'Université de Sherbrooke cet automne.

Félicitations à Lauren Dexter de Dartmouth, Chouaib Ezzarourri de Halifax, Trevor Melanson de la Baie Sainte-Marie et Hannah Sibbick de Montague (Î.-P.É.)

Ces quatre diplômés ont tous accédé à des places réservées au sein du programme de doctorat en médecine à l'Université de Sherbrooke.

Peut-être que vous vous demandez comment il se peut qu'une telle place leur soit réservée. C'est grâce à une entente avec le gouvernement du Québec. Des étudiantes et étudiants francophones du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l'Île-du-Prince-Édouard sont accordés des places dans divers programmes de la santé de certaines universités québécoises, à condition que les candidates et candidats satisfassent aux exigences d'admission de ces programmes.

Plus précisément, chaque année, trois places en médecine (à l'Université de Sherbrooke) et deux places en pharmacie (une à l'Université de Montréal et une à l'Université Laval) sont réservées aux étudiantes et étudiants francophones néo-écossais. Une place en médecine est réservée à une personne francophone de l'Île-du-Prince-Édouard.

« L'Université Sainte-Anne et le Consortium national de formation en santé sont très fiers de collaborer avec le gouvernement de la N.-É. pour appuyer ce projet qui existe depuis 1999, et qui a pour but d'augmenter le nombre de médecins bilingues dans les communautés en milieu minoritaire en Nouvelle-Écosse », explique Hughie Batherson, coordonnateur du Consortium national de formation en santé à l'Université Sainte-Anne.

À titre d'exemple, la plupart des médecins qui pratiquent au Centre de santé de Clare à Meteghan, N.-É. sont alumni de l'Université Sainte-Anne et certains ont pu profiter de ces places réservées, dont Dre Michelle Dow, Dre Giselle Dugas, Dr Alain Blinn et Dr Jean-Luc Dugas.

D'autres alumni qui ont complété ce cheminement pratiquent maintenant à Sydney (N.-É.). Dre Saneea Abboud, originaire de Clare, est médecin en soins palliatifs à l'Hôpital régional du Cap Breton et Dre Kathrine Pettipas, originaire d'Antigonish, est chef de clinique adjointe (« Associate Chief Resident ») en médecine familiale à Sydney. Toutes les deux peuvent offrir des services de santé en français à cette communauté.

L'Université Sainte-Anne est donc un tremplin idéal pour ceux et celles qui désirent poursuivre une carrière en santé en français. Différents programmes préparatoires y sont offerts, tels que le diplôme en sciences de la santé ou le baccalauréat en sciences avec majeure en biologie ou sans majeure.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information      

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114, poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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