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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 18 octobre 2019 – Du 4 au 6 octobre dernier, près d'une centaine de personnes venues de partout au Canada et de l'international se sont réunies au campus de Pointe-de-l'Église de l'Université Sainte-Anne pour participer au colloque « Les médias francophones sous toutes leurs coutures : rôles, défis, occasions dans un environnement en changement ». Cette manifestation scientifique et communautaire était organisée par le Réseau de la recherche sur la francophonie canadienne, sous l'égide de l'Association des collèges et universités de la francophonie canadienne.

La coprésidence du colloque était assurée par Clint Bruce, titulaire de la CRÉAcT et professeur à l'Université Sainte-Anne, et Natalie Robichaud, directrice générale de la Société acadienne de Clare et étudiante à la maîtrise ès arts en Cultures et espaces francophones à l'Université Sainte-Anne. Tous les deux se disent très satisfaits des échanges et du dialogue qui ont eu lieu et sont impatients de voir les projets qui vont en découler.

Prenons par exemple le Forum sur l'avenir des médias francophones, animé par Martin Théberge Consultant, et dans lequel les diverses parties prenantes des médias francophones se sont rassemblées pour réfléchir sur des pistes de solution pour l'avenir. Une dizaine d'idées ont été abordées par les participants en forum ouvert afin d'identifier les plus prometteuses. Un rapport des résultats de la discussion sera diffusé dans les prochains mois.

Pour ce qui est de l'implication communautaire, les participants et participantes au projet de journalisme citoyen « SOS Médias ! » ne se sont certainement pas tourné les pouces. Organisé par la Société acadienne de Clare grâce à des fonds de Patrimoine canadien, ce volet du colloque a débuté le jeudi soir par une formation dispensée par Simon Thibault, auteur, journaliste et ancien de l'Université Sainte-Anne. Tout au long de la fin de semaine, une quinzaine de journalistes citoyens ont documenté l'événement afin de contribuer à un cahier spécial qui paraitra dans Le Courrier de la Nouvelle-Écosse avant la fin de l'année. D'ailleurs, les photos utilisées pour les fins de ce communiqué et d'autres requêtes médiatiques ont été prises par l'un des participants, Alexandre Pirottin.

« J'ai beaucoup apprécié la grande diversité de sujets qui ont été présentés et les discussions qui avaient lieu avec l'auditoire après les présentations », nous a témoigné Odette Comeau, membre de la communauté et participante au projet de journalisme citoyen « SOS médias ! ». « J'ai aimé qu'il y avait une forte présence de femmes tant parmi les chercheurs et chercheuses que par le public qui a participé. J'ai eu à faire des choix difficiles quant aux présentations qui m'intéressaient, mais je n'ai pas été déçue et j'ai hâte de lire sur les autres présentations. »

Enfin, il est envisagé de publier un numéro spécial de la revue Port Acadie sur le thème du colloque.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.