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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 1er mai 2019 – Caroline Fitzpatrick, professeure au département des sciences humaines à l'Université Sainte-Anne et chercheuse membre du Centre PERFORM, vient de publier les résultats d'une vaste étude canadienne auprès de 40 000 adolescents qui examine l'impact des écrans sur les adolescents. Robin Burkhalter, chercheuse au Propel Centre for Population Health Impact à l'Université Waterloo et Mark Asbridge, professeur au département de santé communautaire et d'épidémiologie de l'Université Dalhousie faisaient également partie de l'équipe de recherche.

Les résultats de cette étude ont révélé que l'utilisation accrue des écrans par les jeunes entraîne des effets néfastes sur leur santé et leur productivité. Les adolescents qui consacraient plusieurs heures par jour à regarder la télévision, à jouer à des jeux vidéo, ou à passer du temps sur l'internet avaient des résultats scolaires moins élevés, démontraient moins d'attachement scolaire, avaient une moins bonne auto-estime et démontraient plus de comportements de victimisation envers leurs pairs. De plus, ils s'adonnaient à moins d'activité physique et avaient de moins bonnes habitudes alimentaires.

« Dans l'ensemble, le temps passé devant les écrans peut enlever du temps à d'autres activités qui pourraient être plus bénéfiques et plus enrichissantes », explique la professeure Fitzpatrick. De plus, les effets néfastes sont plus prononcés chez les jeunes qui font une forte utilisation des écrans (4 à 5 heures par jour) comparativement à ceux qui les utilisent de façon plus modérée (2 heures ou moins par jour). Par conséquent, une réduction de l'usage des écrans pourrait se traduire par des économies pour la santé publique.

« C'est quelque chose qu'on peut comparer à une alimentation saine. Il serait bénéfique de sensibiliser les jeunes le plus tôt possible pour qu'ils puissent prendre eux-mêmes des décisions saines face aux écrans », précise-t-elle. « Les parents et les proches peuvent aider en modélisant des comportements modérés. »

Rappelons les recommandations suivantes au sujet de l'utilisation appropriée des écrans :

Enfants de moins de 2 ans
Aucun temps d'écran (source : Société canadienne de pédiatrie);

Enfants de 2 à 5 ans
Moins d'une heure par jour (source : Société canadienne de pédiatrie);

Enfants de 5 à 17 ans
Moins de 2 heures par jour (source : Société canadienne de physiologie de l'exercice).

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

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