Actualités

Pointe-de-l'Église - L'Université Sainte-Anne a récemment mené une enquête auprès de ses finissants 2011: les résultats montrent que près de 90% des diplômés en éducation (BÉd, B.A/B.Éd et BSc/B.Éd) et 100% des diplômés en administration (BAA) avaient un emploi à temps plein au moment du sondage.

« La perception actuelle est qu'il n'y a pas de débouchés en enseignement, en raison de la situation démographique et des coupures budgétaires annoncées par les conseils scolaires en Atlantique. C'est peut-être le cas pour les enseignants qui ne s'expriment pas en français, mais pas pour nos finissants, qui se placent sur le marché du travail aussi bien dans les provinces de l'Atlantique que dans le reste du Canada. Quant aux finissants en administration, leur taux de placement est de 100 % depuis plus de 10 ans. Bref, les diplômés bilingues sont très convoités! » a déclaré Hughie Batherson, vice-recteur aux affaires étudiantes.

« À l'heure de la mondialisation, le fait qu'ils soient bilingues est un atout certain » ajoute M. Batherson. La maîtrise des deux langues officielles est en effet un avantage concurrentiel certain sur le marché du travail. Selon les résultats des deux derniers recensements, le taux d'emploi des personnes bilingues est supérieur à celui des personnes ne parlant qu'une seule des deux langues officielles. Cet avantage s'étend également au revenu personnel : le revenu des personnes parlant les deux langues officielles était de près de 10 % supérieur à celui des unilingues anglophones et de 40 % supérieur à celui des unilingues francophones.

Personnes ressources

Hughie Batherson
Vice-recteur aux affaires étudiantes
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Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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