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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 7 novembre 2018 – Du 1 au 4 novembre s'est déroulé le symposium La Louisiane francophone et ses relations internationales à la Nouvelle-Orléans en Louisiane. Ce symposium spécial, inséré dans le 21e colloque bisannuel de l'American Council for Québec Studies (ACQS), est né d'une collaboration étroite entre le professeur Clint Bruce, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et transnationales (CRÉAcT), et deux collègues, Nathan Rabalais (College of William & Mary) et Robin White (Nicholls State University), ainsi qu'avec l'exécutif de l'ACQS.

Il n'y a pas de doute que cet événement a été un franc succès. Avec sa programmation riche et diversifiée et des participants venant d'universités partout en Amérique du Nord et même ailleurs, les échanges ont été enrichissants. D'ailleurs, il mérite d'être souligné que l'Université Sainte-Anne et notre région de l'Acadie ont été représentées avec brio.

Parmi la vingtaine de communications scientifiques du symposium, l'intervention du professeur Bruce a porté sur ses récentes recherches sur les jumelages entre les villes de Louisiane et des Provinces maritimes. Bruce a également animé deux tables rondes, l'une marquant le tricentenaire de la Nouvelle-Orléans, fondée en 1718, et l'autre réunissant des membres de la Nation unie houma, peuple autochtone et francophone de Louisiane.

Dans la photo de gauche à droite : Clint Bruce, Joseph Dunn et Angel Adams Parham lors de la table ronde (crédit photo : Nathan Rabalais)

Jimmy Thibeault, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et francophones a présenté « Lire Alphonse Deveau à travers les archives: réflexion autour de l'édition critique des romans Le chef des Acadiens » dans une séance régulière de l'ACQS.

Georgette LeBlanc, poète officielle du Parlement du Canada et ancienne de Sainte-Anne, a participé à une soirée littéraire et musicale avec Kirby Jambon, poète cadien, ancien étudiant de Sainte-Anne et lauréat d'un prix de l'Académie française, aux côtés du groupe Zydeco Sunpie Barnes & The Louisiana Sunspots.

Quelques participants au symposium ont également été enseignants au programme d'immersion à l'Université Sainte-Anne, soit les coorganisateurs Nathan Rabalais et Robin White. Maggie Perkins a participé dans le cadre d'une table ronde avec tout le personnel du Conseil pour le développement du français en Louisiane (CODOFIL) qui avait pour sujet de discussion Le CODOFIL à 50 ans : réalisations et perspectives d'avenir.

Ce symposium chapeauté par la CRÉAcT a rassemblé de nombreux partenaires, dont The Historic New Orleans Collection, le CODOFIL, les Éditions Tintamarre, la Louisiana Endowment for the Humanities et le Regroupement des éditeurs franco-canadiens.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.