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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 10 janvier 2022 – La Fédération des femmes acadiennes de la Nouvelle-Écosse (FFANE) est fière de présenter à la communauté les résultats de l'étude « Renforcer nos capacités ensemble », faite en collaboration avec l'Université Sainte-Anne et financée par Femmes et Égalité des Genres Canada.

Dirigée par M. Roger Gervais, professeur de sociologie à l'Université Sainte-Anne, et appuyée par l'équipe de la FFANE, l'étude a débuté à l'automne 2019. Les objectifs de cette étude sont au nombre de deux : d'une part, avoir une meilleure compréhension des besoins des femmes d'expression française de la Nouvelle-Écosse, d'autre part, pour renforcer les capacités organisationnelles et l'action de la FFANE en tant qu'organisme à but non-lucratif.

Cette étude inclut la lentille de l'Analyse Comparative entre les Sexes+ (ACS+) qui vise à évaluer les inégalités découlant des politiques et des programmes en place sur divers groupes de personnes, en tenant compte du genre, d'autres facteurs identitaires et de leur intersection. Pour cela, l'équipe de travail a recueilli des témoignages de femmes à travers des entrevues individuelles au printemps 2020, puis des données chiffrées à l'occasion d'un questionnaire en ligne ouvert aux femmes, aux hommes et aux personnes de diverses identités de genre au printemps 2021.

Les résultats sont maintenant accessibles au format numérique sur le site web de la FFANE.

Les résultats avaient également été présentés par M. Roger Gervais le 28 septembre 2021 à l'occasion d'une activité virtuelle dans le cadre de l'Assemblée générale annuelle de la FFANE.

La FFANE invite la communauté et ses partenaires à consulter cet outil représentatif des besoins des femmes en temps de pandémie. Parmi les besoins identifiés, l'accès aux services en français est encore un enjeu pour les femmes, ainsi que la répartition des tâches domestiques au sein du foyer. Cinq (5) pistes de solution ont été dégagées. Elles vont permettre d'encadrer les projets futurs de la FFANE et peuvent aussi s'appliquer aux autres partenaires communautaires pour une meilleure inclusion et valorisation des femmes dans leurs activités.

La FFANE tient à remercier tous les participants et participantes à cette étude, ainsi que l'Université Sainte-Anne, M. Roger Gervais et ses assistantes de recherche.

Pour plus d'informations, écrivez à Claire Gabriot, coordinatrice de projet pour la FFANE, à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

À propos de la Fédération des femmes acadiennes de la Nouvelle-Écosse

La FFANE est un organisme provincial à but non-lucratif qui a pour mission la promotion de l'épanouissement personnel et social des femmes acadiennes et francophones de la Nouvelle-Écosse.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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