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Jimmy Thibeault a fait paraître l'article « L'année la plus longue de Daniel Grenier : remonter la trace de la franco-américanité » dans un dossier spécial de la revue italienne Interculturel Francophonies. Le dossier, dirigé par Victor Bernovski et intitulé « Francité, américanité et indianité dans le roman québécois », réuni des articles de 16 chercheurs qui s'intéressent à la question de l'identité québécoise dans le contexte de l'américanité.

L'article de Jimmy Thibeault, plus spécifiquement, s'intéresse à la construction d'une identité québécoise qui, dans le roman L'année la plus longue de Daniel Grenier, paru en 2015, se pense à travers son expérience américaine. Il s'intéresse notamment à la tension qui apparaît dans la mise en discours de la mémoire francophone en Amérique à travers les représentations d'une identité présentée à la fois sur le mode d'une « société pensée » et d'une « société vécue ». Le roman met effectivement en scène l'échec du récit historique à bien rendre compte d'une expérience physique du continent telle qu'elle a été vécue, hors du discours, par les francophones. En fait, à force de vouloir reconstruire ce passé historique, le personnage d'Albert Langlois passera à côté de sa propre vie alors qu'il n'arrive jamais à avoir d'emprise sur son propre présent, contrairement à son ancêtre, Aimé Bolduc, et à son fils, Thomas Langlois, qui, en s'ancrant profondément dans leur présent, en viennent pour ainsi dire à faire l'Amérique. C'est par cette participation active des personnages à l'Histoire (notamment la Conquête de 1759, la révolte des Patriotes, la Guerre civile américaine et les attentats sur les tours du World Trade Center le 11 septembre 2001), par cet engagement du sujet dans son présent, que se dessinent les contours d'une certaine franco-américanité du continent.

Référence : Jimmy Thibeault, « L'année la plus longue de Daniel Grenier : remonter la trace de la franco-américanité », Interculturel-Francophonies [revue italienne], dossier sous la direction de Victor Bernovski, « Francité, américanité et indianité dans le roman québécois contemporain », no 32, nov.-déc. 2017, p. 173-198.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.