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Petit-de-Grat (N.-É.), le 23 juin 2023 – Le Centre de recherche marine de l’Université Sainte-Anne continue d’investir dans ses installations de recherche. Situé au campus de Petit-de-Grat sur l’Isle-Madame, le Centre recherche marine logera bientôt une écloserie terrestre de laminaire sucrée (en anglais, sugar kelp). Prévue d’entrer en activité cet automne, cette écloserie soutiendra l’accroissement des connaissances en matière de la culture de la laminaire sucrée en Nouvelle-Écosse. Donc, cet investissement permettra au Centre de diversifier ses capacités de recherche appliquée afin de poursuivre son appui à l’industrie locale du secteur marin et aquacole.

En Nouvelle-Écosse, l’industrie de laminaire sucrée est en voie d’émergence. Néanmoins, nombreux groupes et entreprises s’intéressent à la laminaire sucrée non seulement en raison des occasions commerciales, mais aussi parce que plusieurs estiment que cette culture affecte faiblement, voire positivement, les écosystèmes.

« Nous sommes très excités par ce projet et par la possibilité de jouer un rôle dans le développement de ce nouveau secteur en Nouvelle-Écosse.

Ce projet nous a également donné l’occasion de développer des partenariats importants, ce qui a été très bénéfique pour le Centre de recherche marine. Nous avons pu apprendre et continuons d’apprendre au sujet de la culture de la laminaire directement auprès des cultivateurs, et au sujet des techniques d’écloserie grâce à notre collaboration avec le centre Merinov. »

– Michelle Theriault, directrice du Centre recherche marine

Cet investissement découle des résultats d’un récent projet pilote qui ont montré que la culture de la laminaire sucrée sur les sites d'aquaculture de mollusques du Cap-Breton est praticable. Au cours de cette étude, les spécimens d'algues étaient exportés de la Nouvelle-Écosse vers des écloseries au Québec pour préparer des centaines de mètres de lignes d'algues juvéniles. Ces lignées étaient ensuite ramenées dans la province et placées dans les eaux néo-écossaises pour faire croître les algues. Cependant, un long transport vers une écloserie présente des risques pour la viabilité de la laminaire ; en outre, cette démarche entraîne des coûts, prend du temps, et limite l’échelle de la production. La construction d’une écloserie locale constitue donc un élément essentiel pour que le secteur de la culture de la laminaire sucrée passe de la phase pilote à la phase précommerciale. De plus, la proximité de l’installation facilite davantage la participation des producteurs au processus.

Ce projet est réalisé en collaboration avec l’Association d’aquaculture de la Nouvelle-Écosse, des entreprises aquacoles, et Merinov, le centre collégial de transfert technologique du Cégep de la Gaspésie et des Îles. Invest Nova Scotia et l’Agence de promotion économique du Canada atlantique ont contribué au financement du projet.

À propos de la recherche à l'Université Sainte-Anne 

Fière de son caractère francophone, l'Université Sainte-Anne constitue un foyer unique en son genre pour l'apprentissage, la recherche, l'innovation et l'épanouissement en français. En effet, ancrée dans l'Acadie de la Nouvelle-Écosse, l'Université se focalise sur la création et la mobilisation de savoirs nouveaux dans une variété de domaines de pointe particulièrement pertinents pour notre époque. L'Université Sainte-Anne souhaite soutenir une culture de recherche concertée et dynamique, de façon à favoriser le rayonnement et la mise en œuvre de savoirs vitaux et novateurs, destinés à répondre aux besoins de la communauté locale, de la société acadienne et d'un monde en constante mutation. 

Pour plus d'information  

Bureau de la recherche   
Université Sainte-Anne  
Tél. : 902-769-2114, poste 7196
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.