Actualités

L'Université Sainte-Anne a le plaisir d'annoncer que Jimmy Thibeault, professeur adjoint au Département d'études françaises, est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et francophones. Les travaux de la Chaire de recherche du Canada en études acadienne et francophones viseront à répondre à la question suivante : comment l'évolution de la conscience identitaire acadienne, telle que représentée dans la littérature, s'inscrit-elle dans la conscience identitaire du continent américain et, plus particulièrement, de l'Amérique française? Il s'agira de faire une étude socio-sémiotique et comparative des littératures acadienne et de l'ensemble de la francophonie canadienne ainsi que, dans une moindre mesure, du Canada anglais et des États-Unis afin de mieux saisir les enjeux identitaires contemporains des Acadiens et des francophones.

« Notre gouvernement tient résolument à attirer et à garder au pays les chercheurs les plus brillants au monde, ainsi qu'à appuyer l'innovation, à créer des emplois, et à consolider notre économie, a souligné le ministre d'État Goodyear. En investissant dans des programmes comme les Chaires de recherche du Canada, nous favorisons la recherche de pointe ainsi que la commercialisation des innovations, au profit des Canadiens. »

Pour sa part, Allister Surette, recteur de l'Université Sainte-Anne note que « La recherche de Jimmy Thibeault permettra de mieux comprendre l'identité acadienne et de souligner les similarités et les différences de la littérature francophone en Amérique du Nord ».

« En étudiant l'ensemble de la littérature acadienne afin de la comparer avec d'autres écrits francophones du Canada, cette chaire de recherche nous permettra de mieux comprendre l'évolution de l'identité acadienne», ajoute Jimmy Thibeault, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et francophones. « L'intérêt envers la critique et l'identité de la littérature acadienne n'a pas cessé de croître au fil des ans. Toutefois, l'étude de la littérature acadienne a souvent été axée sur son caractère distinctif en tant que littérature nationale. L'approche comparative permettra d'aller plus loin dans la compréhension de la mémoire et de l'imaginaire qui fondent l'identité acadienne et la place que cette identité occupe dans l'imaginaire continental ».

À propos de JIMMY THIBEAULT

Jimmy Thibeault est diplômé de l'Université Laval (B.A., 1999), de l'Université d'Alberta (M.A., 2002) et de l'Université d'Ottawa (Ph. D., 2008). Il a également fait un stage postdoctoral à l'Université de Moncton (2008-2010) grâce à une bourse du CRSH. Ses recherches portent principalement sur la représentation des enjeux identitaires individuels et collectifs, sur la représentation et l'interprétation des traces de la mémoire et de l'imaginaire francophones dans les fictions de l'américanité et de la franco-américanité, ainsi que sur la place qu'occupe le discours migrant dans la reconfiguration identitaire des espaces francophones. Il a consacré une vingtaine d'articles et chapitres de livres ainsi qu'une vingtaine de communications et conférence à ces problématiques. Il a également co-dirigé trois dossiers spéciaux de revue : un dossier de Voix et Images (2011), avec Jean Morency, qui porte sur l'œuvre de Dany Laferrière; un dossier intitulé « Devenir soi avec les autres. Identité et altérité dans les littératures francophones du Canada » dans la revue @nalyses (2011), avec Emir Delic et Lucie Hotte; et un dossier de Québec Studies (2012), avec Jean Morency, sur les fictions de la franco-américanité. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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