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Lundi 2 juin 2014, Pointe-de-l'Église (N.-É.) - Le 30 mai 2014, le gouvernement du Canada a annoncé un appui financier de 69,2 millions de dollars aux 11 établissements membres du Consortium national de formation en santé (CNFS), afin qu'ils puissent « maintenir et bonifier » leurs programmes de santé en français. L'Université Sainte-Anne va ainsi toucher 1 556 636 $ sur la période 2014 - 2018.

Ce financement, fourni dans le cadre de la Feuille de route pour les langues officielles du Canada 2013-2018: éducation, immigration communautés, permettra à l'institution néo-écossaise de poursuivre des initiatives efficaces qui contribuent au mieux-être et à l'épanouissement des communautés acadiennes et francophones. L'Université Sainte-Anne pourra ainsi continuer à livrer les programmes suivants: assistant de l'ergothérapie et assistant du physiothérapeute; auxiliaire en soins continus; diplôme préparatoire en science de la santé (DSS); baccalauréat en service social. Elle pourra également poursuivre l'élaboration d'un nouveau programme collégial en soins infirmiers auxiliaires, qu'elle espère lancer en septembre 2015 ou 2016.

En outre, l'Université Sainte-Anne s'est engagée à promouvoir et intégrer l'offre active sur ses campus et dans tous ses programmes en santé. L'offre active consiste à indiquer spontanément et clairement au patient qu'il a la possibilité de recevoir des services de santé en français sans qu'il ait nécessairement à le demander. Le financement reçu en mars va permettre à l'université d'outiller ses étudiants et ses professeurs afin que l'offre active, devenue un objectif d'apprentissage, soit intégrée dans les pratiques dès la salle de classe.

« Dans chacune des régions acadiennes et francophones de la Nouvelle-Écosse, nous avons constaté des progrès importants tant au niveau de l'offre que de l'accès à des services en santé en français. Toutefois un grand nombre de défis subsiste. Nous sommes convaincus que ce financement va nous permettre d'accroitre à la fois le nombre de professionnels de la santé et le nombre de services en santé en français disponibles dans nos communautés. » a déclaré Donald Kenny, coordonnateur du CNFS à Université Sainte-Anne.

« Grâce à l'appui financier constant de Santé Canada, nous formons des professionnels de la santé qui contribuent au bien-être de nos communautés acadiennes et francophones. Nos diplômés travaillent en effet majoritairement au sein de leur communauté, donnant aux populations un accès accru aux services de santé en français » a ajouté Allister Surette, recteur de l'Université Sainte-Anne.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne est le seul établissement d'enseignement postsecondaire de langue française en Nouvelle-Écosse. Elle accueille principalement des étudiants originaires des provinces de l'Atlantique mais également de partout ailleurs au Canada, ainsi que d'une douzaine d'autres pays. L'Université Sainte-Anne dispense des programmes collégiaux et universitaires à travers ses cinq campus de Halifax, Petit-de-Grat, Pointe-de-l'Église, St-Joseph-du-Moine et Tusket (Nouvelle-Écosse). Pour plus d'informations, visitez notre site internet www.usainteanne.ca.

À propos du CNFS

Le CNFS est un regroupement pancanadien de onze institutions d'enseignement universitaire et collégial à l'extérieur du Québec qui offrent des programmes de formation en français dans diverses disciplines de la santé. Six partenaires régionaux appuient le CNFS et ses membres et facilitent l'accès à ces programmes de formation. Le CNFS compte également un Secrétariat national, situé à Ottawa, qui joue un rôle important de leadership et de coordination. Cette alliance stratégique permet d'accroître l'apport de professionnels de la santé et de chercheurs bilingues afin d'offrir des services de santé et services sociaux en français de qualité et adaptés aux besoins des communautés francophones en situation minoritaire partout au pays. Pour plus d'information sur le CNFS, visitez le site www.cnfs.net.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.