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L'Université Sainte-Anne fait part de sa tristesse suite au décès de Bernardin Comeau, co-fondateur de Comeau's Sea Foods. L'homme d'affaires, qui allait fêter son 96e anniversaire, avait été durement éprouvé par la perte récente de son fils Marcel, directeur-général de l'entreprise familiale.

Bernardin Comeau était un pionnier et un visionnaire. Son sens inné des affaires et de l'innovation ont sans conteste transformé l'industrie de la pêche en Nouvelle-Écosse et ailleurs. Les produits Comeau's Sea Foods ont dépassé les frontières provinciales et sont vendus sur les marchés internationaux. Le visage économique et social de la Baie Sainte-Marie ne serait pas ce qu'il est sans Bernardin Comeau.

 Allister Surette, recteur de l'Université Sainte-Anne

Né dans une humble famille acadienne de 10 enfants, en des temps où chacun devait faire sa part pour assurer la subsistance de tous, Bernardin Comeau avait très tôt appris le sens du mot travail. Entrepreneur né, il avait fondé sa petite entreprise de pêche au homard dans les années 30. Ayant compris très tôt la nécessité de se diversifier et d'innover dans le secteur particulièrement aléatoire de la pêche, Bernardin et son frère Clarence fondèrent Comeau's Sea Foods en 1946. Les années qui suivirent virent les deux hommes étendre leurs activités aux marchés du hareng, de la pétoncle, des poissons de fond et à toute une gamme de produits de la mer.

En 1962, quand Clarence quitta l'entreprise familiale pour se lancer dans la vente de détail, Comeau's Sea Foods possédait 9 navires de pêches, était présente sur les marchés américains et caribéens et employait des centaines de personnes. Marcel, le fils de Bernardin, rejoignit la compagnie en 1973 et en devint président en 1981. Ensemble, ils continuèrent d'investir dans diverses activités, accroissant encore les capacités de récolte et de production de Comeau's Sea Foods. En 1989, ils ouvrirent le Laboratoire Nova West: destiné à assurer le respect des normes sanitaires et des normes de sécurité, le laboratoire offrait aussi aux consommateurs la garantie de produits de très haute qualité. En 1989, père et fils établirent également la Comeau Foods Division afin d'offrir toute une gamme de produits alimentaires prêts à manger, tels que les chaudrées de poisson et de fruits de mer, les pétoncles et l'aiglefin panés, les tartinades, les galettes de poisson etc.

Profondément attaché à ses racines, à la culture et à l'identité acadienne, Bernardin Comeau sera tout au long de sa vie très impliqué dans le développement de sa communauté. Pilier de l'économie régionale par le biais de son entreprise, il fera aussi de nombreux dons à l'Église, aux hôpitaux, au monde de l'éducation et à divers organismes de bienfaisance. L'Université Sainte-Anne le comptait d'ailleurs comme l'un de ses plus grands bienfaiteurs. Au delà de l'aspect financier, M. Comeau fera bénéficier l'institution francophone de toute son expérience et de toute sa sagesse lorsqu'il sera président du Conseil des gouverneurs de 1979 à 1983.

L'Université Sainte-Anne lui décernera un doctorat honorifique en économie en 1983 et baptisera l'un de ses édifices à son nom en 1994. Bernardin Comeau sera aussi nommé membre de l'Ordre du Canada en 1987.

« Un grand homme vient de nous quitter. Nous prions la famille de Bernardin Comeau d'accepter, en cette fin d'année difficile pour elle, nos plus sincères condoléances: soyez assurés de notre sympathie et de notre amitié » a déclaré Allister Surette, recteur et vice-chancelier de l'Université Sainte-Anne. « Bernardin nous laisse un riche héritage: source d'inspiration de son vivant, il continuera d'être un modèle pour les générations futures » a t-il conclu.

Bernardin Comeau a été inhumé le 6 décembre 2014 au cimetière de Saulnierville.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

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