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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 4 août 2021 – Finissante du baccalauréat en sciences (majeure en biologie) de l'Université Sainte-Anne en 2019, Kristen Noel a récemment publié un article en tant que première auteure dans le Canadian Journal of Zoology. Intitulé « L'apparentement et la sélection de parentèle n'expliquent pas des taux élevés de parasitisme de nids chez les harles huppés », l'article a été sélectionné pour le prix Editor's Choice de la revue.

Nous avons été ravis d'apprendre que certains résultats clés des recherches de Kristen ont été obtenus lorsqu'elle était étudiante au baccalauréat. Ce n'est là qu'un exemple qui démontre comment l'Université Sainte-Anne offre plusieurs occasions d'apprentissage expérientiel et valorise la participation des étudiantes et des étudiants aux travaux de recherche.

L'étude fait partie d'un projet qui implique également des collaborateurs de l'Université McGill et de Parcs Canada et qui est possible grâce à une subvention Découverte du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) obtenue par Shawn Craik, professeur agrégé en biologie à l'Université Sainte-Anne.

Le parasitisme de nids, c'est-à-dire pondre des œufs dans le nid des autres de la même espèce, est connu pour près de 250 espèces d'oiseaux et fait l'objet d'études depuis des décennies. Malgré cela, les facteurs favorisant l'évolution de ce comportement intriguant sont encore largement non résolus.

L'étude en question cherchait à savoir s'il pourrait être avantageux pour les parasites de pondre leurs œufs dans le nid de leur parenté (p. ex. leur mère ou leur sœur). Des données d'une population de harles huppés nichant au Parc national Kouchibouguac au N.-B ont été utilisées et les résultats ont démontré que ce n'est probablement pas le cas.

« Notre étude souligne le fait qu'il est peu probable que l'apparentement et la sélection de parentèle jouent un rôle central dans l'évolution du parasitisme des nids chez les espèces dont les hôtes passent très peu de temps au nid, même lorsque le coût du parasitisme pour la reproduction de l'hôte est faible. Notre prochaine étape est de tester cette hypothèse avec des observations d'individus marqués sur le terrain. »

- Shawn Craik, professeur agrégé de biologie à l'Université Sainte-Anne

Des oeufs dans un nid

Un nid de harle huppé parasité par au moins une femelle. Une femelle ne pondra normalement pas plus de 9 à 10 œufs dans son nid. Crédit photo : Shawn Craik

Ornithologue et passionnée pour la conservation de la faune, Kristen continue ses recherches en biologie à l'Université Acadia. Plus récemment, dans le cadre de son projet de maîtrise, elle s'intéresse à la conservation des eiders à duvet, un canard de mer nichant sur des îles côtières du sud-ouest de la Nouvelle-Écosse.

Ceux et celles qui souhaitent en apprendre plus au sujet de l'étude peuvent la consulter sur le site web du Canadian Journal of Zoology.  

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information      

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.