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Ce colloque, rendu possible grâce à une subvention du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), se tiendra à la salle Marc-Lescarbot de l'Université Sainte-Anne, campus de Pointe-de-l'Église, du 11 au14 août 2013.

Le colloque réunira des spécialistes du Canada, des États-Unis, de l'Europe et de l'Afrique pour étudier les lieux de rapprochement entre les différentes littératures correspondant à ce que François Paré a défini comme étant de « l'exiguïté ». On a pu constater depuis quelques années une certaine valorisation de ces littératures de l'exiguïté à travers la mise en place d'un appareil institutionnel qui a favorisé, d'une part, la production littéraire en milieu minoritaire et, d'autre part, sa diffusion à l'intérieur et à l'extérieur des limites de la société d'appartenance. Cette diffusion passe essentiellement par une plus grande visibilité des littératures de l'exiguïté dans les lieux de diffusions traditionnels (recensions dans des journaux, des magazines destinés à un large public ainsi que dans des revues littéraires spécialisées, présence des auteurs dans les librairies et les salons du livre) et non traditionnels (médias sociaux, disponibilité du livre électronique). En même temps, le milieu universitaire s'est de plus en plus intéressé à la production littéraire en contexte minoritaire en en étudiant les enjeux institutionnels et scripturaires ainsi qu'en les intégrant dans le cursus des programmes de littérature. Cette présence accrue des littératures de l'exiguïté dans l'espace culturel mondial est particulièrement intéressante dans le contexte actuel où l'accélération du phénomène de la mondialisation a pu entraîner une profonde angoisse de la fin au sein des petites cultures confrontées à l'omniprésence des cultures majoritaires : loin de disparaître, les littératures de l'exiguïté ont su tirer profit du nouveau contexte planétaire en s'ouvrant davantage aux autres cultures, leur permettant ainsi de trouver une place qui leur est propre. Cette ouverture a favorisé la mise en place de réseaux de communications entre les différentes minorités du globe et a permis d'établir des lieux de comparaison où chacune a pu, certes, affirmer ses particularités, mais également prendre conscience des défis qu'elles ont en partage. Ce sont ces lieux de rencontre et de comparaison que les participant.e.s du colloque exploreront à partir des littératures acadienne et québécoise à travers une approche comparative avec l'ensemble des littératures de la Francophonie. Nous nous intéresserons à la fois à la problématique des institutions en contexte minoritaire, à l'utilisation de la langue comme lieu d'identification ainsi qu'aux espaces de fiction proprement dits. Pour ce dernier point, il s'agira concrètement de voir comment, à travers la fiction elle-même, les « petites » littératures débordent les limites de l'exiguïté dans laquelle elles semblent confinées.

Le colloque proposera les conférences de Jean Morency, de l'Université de Moncton, et de Lucie Hotte, titulaire de la Chaire de recherche sur les cultures et les littératures francophones du Canada à l'Université d'Ottawa.

Visitez notre site internet pour plus d'informations : https://www.usainteanne.ca/aplaqa-2013.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.