Actualités

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 4 novembre 2019 – La Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et francophones (CRÉAF) et le Département d'études françaises de l'Université Sainte-Anne vous invitent à la deuxième conférence de la série des « grandes conférences de l'Université Sainte-Anne » pour l'année 2019-2020 qui sera donnée par Catherine Leclerc.

La conférence intitulée « C'est la number one place : littérature acadienne et cosmopolitisme vernaculaire » aura lieu le mardi 12 novembre à 19h00 à la salle Marc Lescarbot au campus de Pointe-de-l'Église et sera disponible en Facebook Live sur le compte de l'Université Sainte-Anne.

La conférence portera sur le fait que l'innovation formelle et la création de capitales littéraires cosmopolites font partie des principaux moyens par lesquelles les littératures d'expression française peuvent gagner en légitimité. Dans les petites cultures comme la culture acadienne, ces moyens sont cependant difficiles d'accès.

D'une part, l'innovation formelle doit, pour être valorisée, être aisément décontextualisable (Bourdieu 1992; Casanova 1999); lorsqu'elle est particularisante, elle tend à être reléguée à une référentialité prélittéraire et lue de manière mimétique. D'autre part, les villes acadiennes sont de petite taille et en déficit de reconnaissance extérieure (Nepveu 1998; Boudreau 2007). Cependant, des œuvres littéraires acadiennes, tous genres confondus, investissent tant le cosmopolitisme (qu'elles associent à des espaces parfois minuscules) qu'une expérimentation linguistique détachée de sa seule valeur représentative. Ce faisant, elles tressent de manière inédite enjeux locaux et enjeux globaux, et réinventent les modalités d'échange envisageables entre eux.

À propos de Catherine Leclerc

Catherine Leclerc est professeure au département des littératures de langue française, de traduction et de création (anciennement langue et littérature françaises) de l'Université McGill.

Ses travaux portent sur l'hétérolinguisme des minorités de langues officielles au Canada, de même que sur la traduction de cet hérérolinguisme. Elle a fait paraître des articles sur ces sujets dans divers ouvrages collectifs et revues, comme Méta, Québec Studies, Voix et images et La revue de l'Université de Moncton. Son étude Des langues en partage? Cohabitation du français et de l'anglais en littérature contemporaine (XYZ, 2010) lui a valu le prix Gabrielle-Roy 2010 de l'Association des littératures canadiennes et québécoise. Ses recherches actuelles se penchent sur l'hétérolinguisme dans la chanson acadienne, en lien avec les changements en cours dans les idéologies linguistiques.

*Résumé de la conférence et biographie fournis par la conférencière

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.