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Jimmy Thibeault participera au Café philosophique « Comment nommer les francophonies minoritaires ? » le 19 septembre 2013, 17h, à l'Université Laurentienne, Sudbury.

Lorsqu'il est question de décrire la réalité des francophones du Canada, le mot communauté est omniprésent. Les organismes du secteur associatif, les médias et, même, les gouvernements utilisent le terme constamment, ce qui confère au terme une réalité très palpable dans le champs discursif. Mais à quelle réalité sociale correspond ce mot? Que signifie-t-il, au juste? Les francophones d'une province ou d'une ville forment-ils réellement une "communauté"? Ou au contraire, le terme suggère-t-il une consistance (idéologique, culturelle, sociale) qu'on ne retrouve simplement pas dans la réalité? S'ils réussissent à "faire communauté", comment y arrivent-ils? Et comment décrire leurs rapports avec d'autres communautés - locales, régionales, ou autres? Ou avec la société canadienne en général? Le directeur actuel de Francophonies d'Amérique, François Paré, a suggéré, au long de sa carrière, quelques concepts inédits pour décrire la réalité des francophonies minoritaires, dont celui de l'exiguïté et de la fragilité. Ces derniers peuvent-ils nous aider à nuancer l'idée des francophonies comme "communautés"? Quelles sont les forces et les limites de ces concepts dans les diverses disciplines des sciences humaines?

Participation de :

  • Gratien Alaire (histoire, Laurentienne)
  • Joel Belliveau (histoire, Laurentienne)
  • Emanuel da Silva (sociolinguistique et cultural studies, CRÉFO)
  • Serge Dupuis (coordinateur exécutif de l'Institut franco-ontarien et historien - animateur et discutant)
  • Pascal Marchand (gestionnaire de la recherche, AUFC)
  • Paulin Mulatris, (philosophie / interculturalité, Faculté St-Jean)
  • Jimmy Thibeault (littérature, Sainte-Anne)

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.