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Le campus de Pointe-de-l'Église

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 22 janvier 2016 – Les finissants de 2015 du baccalauréat en éducation à l'Université Sainte-Anne n'ont pas tardé à trouver des emplois. Moins d'un an s'est écoulé depuis la collation des grades et plus de 90% des diplômés ont réussi à trouver un travail à temps plein.

Pourtant, la tendance générale, depuis quelques années et à travers le Canada est que le nombre d'enseignants à la recherche d'emploi dépasse largement le nombre de postes à combler. Cette offre excédentaire est ressentie plus particulièrement en Ontario, en Colombie-Britannique et en Nouvelle-Écosse. Dans certaines régions, la concurrence est féroce même pour les enseignants qui tentent de s'inscrire sur une liste de suppléance, considérée comme un tremplin vers un poste permanent.

Malgré ce déséquilibre, il existe une tendance opposée qui montre que les enseignants qui ont complété un programme en français langue seconde ou ceux qui sont prêts à travailler en milieu minoritaire sont en demande dans tout le pays.

« Le Halifax Regional School Board (HRSB) a embauché environ 212 enseignants de français (y compris les suppléants) au cours des trois dernières années » nous confirme Sheila Christie, Recruitment and Retention Advisor au HRSB, le plus gros conseil scolaire dans les provinces de l'Atlantique.

Selon Mme Diane Racette, directrice générale du Conseil scolaire acadien provincial, « Les perspectives d'emploi dans les écoles de langue française en Nouvelle-Écosse sont excellentes. Le CSAP a embauché plus de 100 nouveaux enseignants au cours des trois dernières années et nous croyons que cette tendance se maintiendra grâce à la croissance de nos écoles ».

En effet, la demande provenant de ces deux conseils scolaires dépasse de loin le nombre de diplômés du Baccalauréat en éducation à l'Université Sainte-Anne. Il serait donc judicieux pour ceux et celles qui envisagent de poursuivre une carrière en enseignement de considérer un programme de français langue seconde ou un emploi en milieu minoritaire après l'obtention de leur diplôme.

L'Université Sainte-Anne offre le baccalauréat en éducation (avec option enseignement au secondaire et options enseignement à l'élémentaire français langue maternelle et français langue seconde) à travers ses cinq campus situés en Nouvelle-Écosse à Halifax, à Petit-de-Grat, à Pointe-de-l'Église, à Saint-Joseph-du-Moine et à Tusket.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientielles favorisant l'engagement et la réussite estudiantins et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.

C’est au tour de Talia Quinlan de partir vivre une nouvelle expérience remplie d’aventures et de découvertes dans le cadre du programme de mobilité de l’Université Sainte-Anne. Étudiante au baccalauréat en sciences intégré au baccalauréat en éducation, Talia a choisi l’Université Clermont-Auvergne pour le semestre d’automne 2024.

Originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse, elle cherche à essayer quelque chose de nouveau et quitter sa zone de sécurité après avoir terminé sa troisième année de programme.

« J’ai choisi de faire le programme de mobilité puisque je me sens à l’aise en Nouvelle-Écosse. Je serais parfaitement contente à rester ici pour le reste de ma vie. Cependant, je fais un effort de sortir de ma zone de confort dernièrement et essayer de nouvelles expériences. Je n’ai jamais vraiment sorti des maritimes, donc je voulais explorer un différent pays et une nouvelle culture. Je ne saurais jamais si j’aime voyager sans l’essayer, et ce programme me donne l’occasion parfaite à explorer avant que je trouve une carrière et m’installe dans un endroit. »

« Je souhaite apprendre à propos de la culture française et explorer l'histoire dans la région. Je souhaite également observer les méthodes d'enseignement et le format des cours, bien que je ne puisse pas suivre des cours d'éducation, pour voir s'il y a des aspects nouveaux ou intéressants que je pourrais utiliser dans mon futur enseignement. »

Talia est également récipiendaire d’une des Bourses France-Acadie qui sont destinées aux étudiants et étudiantes de nationalité canadienne qui souhaitent effectuer une session ou une année d’études universitaires en France.

L'Université Sainte-Anne offre de nombreuses options d'échanges dans le cadre de son programme de mobilité. Un séjour d'étude à l'étranger est l'occasion idéale pour nos étudiantes et étudiants de vivre une expérience unique, de diversifier leurs connaissances et d'avoir une expérience à l'international.