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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 6 décembre 2018 – Natalie Thimot, originaire de Saulnierville, N.-É., a découvert sa passion pour les sciences au secondaire. Elle a donc choisi de poursuivre un baccalauréat en sciences à l'Université Sainte-Anne, où elle a découvert une nouvelle variété de sujets. Plus particulièrement, elle a eu un coup de cœur pour les cours d'ornithologie offerts par le professeur Shawn Craik, des cours dans lesquels elle a vécu ses premières expériences de terrain.

En 2014, baccalauréat en main, Natalie a choisi de compléter une année d'études ailleurs pour approfondir ses connaissances en écologie. Ce fut toute une transition : « quand on est habitué à des petites classes et on passe ensuite à des cours avec des centaines d'étudiants, on se rend compte que les cours à Sainte-Anne laissent beaucoup plus de place aux dialogues et aux discussions avec les professeurs. Dans les grandes institutions, je dirais que c'est plutôt une conférence, » explique Natalie. Elle mentionne qu'à Sainte-Anne, les professeurs connaissent les étudiants par leur nom et discutent avec eux, avant même qu'ils entrent dans leurs bureaux.

C'est en septembre 2015 qu'elle s'est inscrit à l'Université McGill dans le but de poursuivre une maitrise en sciences en ressources naturelles (biologie de la faune). C'est en partie grâce au réseau du professeur Craik, lui-même ayant complété son doctorat à McGill, que Natalie a pu faire des contacts avant son arrivée sur le campus. « J'ai beaucoup aimé mes 2 années d'études au MacDonald campus, un campus vert qui se trouve le long des côtes du fleuve Saint-Laurent, et qui m'a en fait beaucoup rappelé le campus de Pointe-de-l'Église de l'Université Sainte-Anne, » précise-t-elle. Son projet de thèse soumis et approuvé, elle a reçu son diplôme à la collation des grades en novembre.

Natalie maintient toujours des liens étroits avec l'Université Sainte-Anne. En avril dernier elle est venu à Pointe-de-l'Église pour présenter son projet de maitrise dans le cadre d'une Soirée recherche et innovation organisée par le corps professoral du département des sciences. À l'été, elle a travaillé en tant que technicienne de la faune aviaire dans le cadre d'un projet de recherche du professeur Shawn Craik, et menait des activités qui contribueront au rétablissement de la sterne de Dougall, un oiseau de mer en voie de disparition au Canada. Cet automne, elle est revenue sur le campus de Pointe-de-l'Église dans le cadre du cours d'ornithologie du professeur Craik, pour mener les sorties dans le Petit bois pour baguer des canards. 

Il n'est donc pas étonnant qu'en septembre dernier, Natalie ait décroché un emploi en tant que stagiaire au Mersey Tobeatic Research Institute, dans le comté de Queens, N.-É. Ce stage lui donnera l'occasion de travailler sur des projets de recherche qui touchent les forêts anciennes ainsi que les espèces en voies de disparition, et en même temps habiter proche de sa famille et de son alma mater.

Lorsque nous lui avons demandé quels conseils elle donnerait aux élèves du secondaire qui envisagent de poursuivre des études postsecondaires, elle a tout de suite répondu : « Étudiez en français, on ne se rend pas compte des avantages que cela peut nous procurer. Le fait d'être bilingue offre un plus grand nombre d'opportunités. »

Effectivement, le fait d'être bilingue ouvre des portes et créer des opportunités non seulement ici en Nouvelle-Écosse mais partout au pays. Natalie souhaite rester en Nouvelle-Écosse pour l'instant, mais elle se dit également ouverte à poursuivre de nouvelles aventures, peut-être avec Parcs Canada ou Environnement Canada ou encore pour un organisme à but non lucratif.

L'Université Sainte-Anne est fière de l'ancienne Natalie Thimot et sera toujours ravi de la revoir sur nos campus. Avec un tel parcours et ce large éventail d'expériences, nous sommes certains qu'elle continuera à se démarquer et à œuvrer pour la protection des espèces en voie de disparition afin qu'elles puissent être appréciées par les générations futures.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !