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Une première pour les francophones des Maritimes!

BATHURST (N.-B.), POINTE DE L'ÉGLISE (N.-É.), WELLINGTON (Î.-P.-É) - le 28 janvier 2012 - Grâce à un partenariat avec le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB), l'Université Sainte-Anne de la Nouvelle-Écosse et le Collège Acadie Î.-P.-É. de l'Île-du-Prince-Édouard offriront, à partir de septembre 2013, un nouveau programme spécialisé en soudage.

La collaboration entre les trois établissements francophones d'enseignement postsecondaire permettra à des étudiants en milieu rural ou minoritaire d'accéder à la formation spécialisée. À partir du CCNB - Campus de Bathurst, les enseignants offriront la formation par vidéoconférence aux différents centres de formation, soit le Collège Acadie Î.-P.-É. et l'Université Sainte-Anne.

« Le développement des compétences et la planification de la main-d'œuvre sont des éléments importants du Plan d'action pour la construction navale en Atlantique », a déclaré l'honorable Bernard Valcourt, ministre associé de la Défense nationale et ministre d'État (Agence de promotion économique du Canada atlantique) (la Francophonie). « Cette approche coopérative en vue de préparer la population francophone de toute la région à l'augmentation prévue au sein de l'industrie de la métallurgie est l'un des effets positifs attendus de l'initiative de construction navale. »

Selon la PDG du CCNB, Liane Roy, « Le CCNB, une société autonome, entrepreneuriale et novatrice, se réjouit de ce projet, d'autant plus qu'il mise sur les nouvelles technologies. Notre partenariat avec l'Île et la Nouvelle-Écosse vient réaffirmer le besoin de collaboration entre établissements francophones et acadiens pour accéder à une formation en français de qualité, a-t-elle expliqué. Le projet pilote nous donne l'occasion d'évaluer les mécanismes de présentation de la formation, et de vérifier si les formations liées aux métiers offertes en français répondent à un réel besoin des étudiants et de l'industrie », a-t-elle poursuivi.

Le recteur et vice-chancelier de l'Université Sainte-Anne, Allister Surette, applaudit également cette première. « À l'Université Sainte-Anne, nous bénéficions de vingt ans d'expérience dans le domaine de l'enseignement par vidéoconférence; cependant, la formation en soudage nous ouvre une nouvelle dimension : l'offre de formation aux métiers par vidéoconférence ainsi que de stages pratiques. Le partenariat que nous annonçons aujourd'hui va renforcer les liens entre notre université et les industries, les communautés et les établissements postsecondaires acadiens », a-t-il fièrement dit.

Au dire du président du Collège Acadie Î.-P.-É., Donald Desroches, « Il est très important que nos collèges et universités travaillent en synergie pour répondre aux besoins des communautés francophones et acadiennes de l'ensemble des Maritimes. La formation ─ qui, souhaitons-le, s'étendra à plusieurs autres métiers ─ aidera à répondre à un besoin grandissant de main-d'œuvre spécialisée spécifiquement dans le domaine de la soudure pour les mégaprojets du Canada atlantique. »

La formation comporte environ 30 p. 100 de théorie; ensuite, les étudiants participent à des projets d'atelier et des stages en milieu de travail dans des entreprises de leur région. Le partenariat avec les entreprises spécialisées en soudage s'avère donc primordial. La formation, d'une durée de quarante (40) semaines, débutera en septembre, et elle comprendra quatorze (14) places.

L'Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA), le Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) et le Consortium national de ressources pédagogiques en français au collégial (CNRPFC) sont des partenaires importants dans ce projet pilote.

Le gouvernement du Canada appuie ce partenariat novateur à l'aide d'un investissement de 87 450 $ en vertu de l'Initiative de développement économique (IDE) de l'APECA, un volet de la Feuille de route pour la dualité linguistique 2008-2013 du gouvernement fédéral. La Feuille de route a pour but de renforcer la dualité linguistique et l'identité nationale canadienne et de générer des retombées économiques pour tous les Canadiens.

Sources

  • Nouveau-Brunswick : Bruno Richard, agent de communication, CCNB, 506-204-9191 ou 506-543-0661 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
  • Nouvelle-Écosse : Bureau d'admission, Université Sainte-Anne, 902-769-2114 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
  • Île-du-Prince-Édouard : Colette Aucoin, vice-présidente, Collège Acadie Î.-P.-É., 902-854-3010, poste 224 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Andrea Richer : Attachée de presse, Cabinet de l'honorable Bernard Valcourt, 613-790-3637

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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